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    • INTRODUCTION
    • DE QUELQUES FONDATEURS DU MYTHE
      • I. MANHATTAN TRANSFER (1925) : UN NOUVEAU TRAITEMENT DE LA DONNÉE URBAINE
      • II. LE PORTRAIT DE VILLE : NEW YORK (1930) DE PAUL MORAND
      • III. VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT (1932) : LE PÉRIPLE ODYSSÉEN SUBVERTI
      • IV. LA DÉRÉALISATION DE NEW YORK : AMERIKA ou LE DISPARU (1927)
    • PREMIÈRE PARTIE LA PÉRIODE D’APPROPRIATION
      • CHAPITRE PREMIER APPROPRIATION ET FIXATION DU MYTHE PAR TRANSPOSITION, NEW YORK CAPITALE DE LA DÉPOSSESSION
        • I. L’ÉTUDE-PORTRAIT OU LE MYTHE EN QUESTION
        • II. LA FUGUE NEW-YORKAISE OU L’ÉPREUVE DU SIMULACRE
        • III. LA CONSÉCRATION DE NEW YORK EN ESPACE TRAGIQUE
        • IV. ALLÉGORIES DE LA MODERNITÉ : LES FABLES NEW-YORKAISES
        • CONCLUSION
      • CHAPITRE II L’APPROPRIATION PAR IMITATION, LA PARALITTÉRATURE OU L’ÉTOFFE DES HÉROS
        • I. NEW YORK ET LA TRADITION DU ROMAN NOIR : GEORGES SIMENON CONTRE LÉO MALET
        • II. MYTHOLOGIE NEW-YORKAISE ET SCIENCE-FICTION
        • III. LE ROI VERT (1983) ET L’IMPÉRATRICE (1986) OU L’ÉPOPÉE NEW-YORKAISE DE LA FINANCE
        • CONCLUSION
    • DEUXIÈME PARTIE NEW YORK SOUS LE REGARD DES MARGINAUX, UNE HYPERBOLE DE L’EXIL
      • CHAPITRE PREMIER L’EXPLORATION DE NEW YORK PAR LE REGARD DU MARGINAL
        • I. L’ANCRAGE COMMUNAUTAIRE, REMPART À LA DÉPOSSESSION
        • II. ROMANS DE L’HOMME ORDINAIRE : ZACHARIE BLUE (1968) ET ANN LEE RACHÈTE LES ÂMES (1978) OU L’EXIL INTERURBAIN
        • III. PASSIONS NEW-YORKAISES : LA REVALORISATION ROMANTIQUE DE LA DÉPOSSESSION DANS LES LOUKOUMS (1973) ET ROMAN DE ROBERTE (1988)
        • CONCLUSION : NEW YORK ET LA LOGIQUE DE LA DISPARITION
      • CHAPITRE II LA TRANSFORMATION DU REGARD PAR LES APPORTS DU FANTASTIQUE ET DE LA BANDE DESSINÉE
        • I. AU PAYS DES MERVEILLES : L’EXASPÉRATION DU POINT DE VUE DANS HISTOIRE DU TABLEAU (1977) ET ah ! QUE C’EST BEAU NEW YORK (1983)
        • II. JOHN L’ENFER (1977) ET ARNOLD, LE GEEK DE NEW YORK (1980) : UN UNIVERS UNIDIMENSIONNEL
        • CONCLUSION
    • TROISIÈME PARTIE HYBRIDATIONS ET MANIPULATIONS
      • CHAPITRE PREMIER NEW YORK ET L’ESTHÉTIQUE DU MELTING-POT
        • I. PASTICHES ET CROISEMENTS D’IDENTITÉS RECONNAISSABLES
        • II. ANNÉES SOIXANTE-DIX : LE TEMPS DES CONTRE-CULTURES
      • CHAPITRE II LA CONSÉCRATION D’UNE TENDANCE : NEW YORK, DU RÉFÉRENT URBAIN AU MATÉRIAU POÉTIQUE
        • I. Le mythe attaqué et l’émergence d’une nouvelle figure : l’artiste
        • II. Fils (1977) et la vie l’instant (1984) : l’autofiction ou le mythe personnel victorieux de l’écrasement New-Yorkais
    • CONCLUSION
    • BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE
      • I. Textes étudiés
      • II. Etudes critiques et ouvrages de référence
      • III. Articles et communications
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New York, mythe littéraire français
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Pour citer ce chapitre :

Pinçonnat, Crystel.
Chap. « Page de titre () » in New York, mythe littéraire français.
Genève: Librairie Droz, 2001
9782600004947

Pour citer un extrait :

Les numéros de pages de la version papier ont été insérés en petits caratères gris au fil du texte et les numéros de notes conservés à l'identique.

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Histoire des idées et critique littéraire
390
Crystel Pinçonnat

NEW YORK, MYTHE LITTÉRAIRE FRANÇAIS
LIBRAIRIE DROZ S.A.
11, rue Massot
GENÈVE
2001

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