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    • DÉDICACE
    • REMERCIEMENTS
    • PRÉFACE UNE EXPLORATION DE L’INCONSCIENT LITTÉRAIRE
    • OUVERTURE
      • HISTORIQUE DU ROMAN PARLANT
        • Une histoire de longue durée
        • Un précédent : la bataille de L’Assommoir
        • Langue populaire et roman à l’orée du XXe siècle
        • Le « cloisonnement des voix »
        • Des conceptions inverses de la langue littéraire ?
        • Des questions communes
        • « Bon usage » ou « faute » : un droit d’entrée
      • MISES AU POINT : CONCEPTS, MÉTHODES, ŒUVRES
        • Un « miracle inexpliqué » pour Leo Spitzer
        • Le roman fasciné par la langue parlée
        • Qu’est-ce que le « récit oralisé » ?
        • L’enjeu des définitions : incorrection ou création ?
        • Conjonction des méthodes
        • L’œil sociologique
        • Descriptions linguistiques et stylistiques
        • Corpus
    • PREMIÈRE PARTIE
      • PORTRAIT DE C. F. RAMUZ EN INITIATEUR : « TRANSPORTER DANS LE FRANÇAIS LITTÉRAIRE » LE LANGAGE PARLÉ
        • Eléments d’une trajectoire
        • Un écrivain « à cheval » sur deux espaces
        • Une généalogie imaginaire
        • La réécriture intime de l’identité
        • « Je parlais leur langue »
        • Le fantasme des origines : Charles Péguy et le « pays de parole »
      • LA SECONDE CARRIÈRE DE RAMUZ EN FRANCE (1918-1924)
        • Les avantages de l’ubiquité
        • Les éditions Grasset : une porte étroite ?
        • L’effet Lefèvre
        • Les tendances du roman et la position de Ramuz
        • La lutte pour l’universel littéraire
        • Poétique : origine des débats sur la langue d’écriture
        • Equivoques critiques au sujet de la « langue-geste »
        • L’écrivain et les pédagogues
        • Des pédagogues dubitatifs
        • L’école contre la langue française
        • Crise scolaire et crise littéraire
        • Le débat français sur le « mal écrire » : la « Lettre à Bernard Grasset »
        • Convaincre les « échappés de Sorbonne » ?
        • Identification à un groupe et choix d’écriture
        • La réception de Ramuz et ses enjeux littéraires
        • Lectures puristes
        • Vers l’autonomie du littéraire : lectures politiques, lectures esthétiques
        • Henry Poulaille, une lecture « prolétarienne »
        • Le goût du « parler populaire » : Henri Barbusse
        • Henri Pourrat : une lecture éthique
        • Paul Claudel et la lecture esthète : « l’ouvrier du langage »
        • Charles-Albert Cingria, la défense de l’autonomie
      • FACE AUX TEXTES : PRÉSENCE DE LA MORT ET FARINET
        • Histoire du texte
        • Les données de la fable
        • Quand « ça » donne le ton
        • Statut linguistique et esthétique du « ça »
        • Le primat du ton
        • Réactions de la presse
        • Quand le narrateur emprunte aux personnages leur parole
        • Nommer et construire par le verbe
        • La dominante rythmique
        • Vers une poétique de l’indéfini
        • La parole comme grand principe générateur
        • La spécularité : or et oral dans Farinet (1932)
        • L’écrivain en chercheur d’oral
        • Bilan
        • Une poétique francophone ?
    • DEUXIÈME PARTIE
      • CHAPITRE PREMIER ENQUÊTES PIONNIÈRES SUR LA LANGUE PARLÉE : CHARLES BALLY
        • Eléments d’une trajectoire
        • Parcours social et choix des objets scientifiques
        • Bally linguiste : une redéfinition du parler
        • La langue « polynésienne »
        • Face à la « langue littéraire »
        • Le babil des classes dangereuses : un exemple
        • Les prolongements pédagogiques
        • Un linguiste devant l’école
        • Vers une théorie de la « faute »
        • Quel impact ?
      • CHAPITRE II FAUTES CONTRE LA LANGUE, FAUTES CONTRE LA FRANCE : ANDRÉ THÉRIVE ET LA POSITION PURISTE
        • Les publications alarmistes
        • La littérature sous la loupe
        • Qu’est-ce que le purisme ?
        • Une « crise du français » ?
        • Un cas exemplaire : André Thérive
        • L’argumentaire puriste
        • Contre le « défaitisme philologique » des linguistes
        • Echos du purisme : le dispositif du jury
      • CHAPITRE III L’ÉTAT ET LES USAGES DU FRANÇAIS : FEUX CROISÉS
        • Charles Bally face à Robert de Traz
        • Robert de Traz critique de Ramuz
        • Ramuz sous le regard de Thérive
        • Thérive sous le regard de Charles Bally
        • Un commun rejet du cadre grammairien
      • CHAPITRE IV VERS UNE NOUVELLE PÉDAGOGIE DE L’ORAL ET DE L’ÉCRIT : CÉLESTIN FREINET
        • Mutations des institutions scolaires
        • Vers un nouvel enseignement du français
        • Quand l’instituteur devient chef d’école
        • Pédagogie et politique
        • Genèse des principes Freinet
        • L’imprimerie à l’école
        • Une littérature enfantine ?
        • La « vie » contre la grammaire
        • La grammaire « en quatre pages »
        • Conclusion
    • TROISIÈME PARTIE MISES EN ŒUVRE LITTÉRAIRES, DU TÉMOIGNAGE A L’IRONIE
      • INTRODUCTION
      • CHAPITRE PREMIER HENRY POULAILLE PROMOTEUR D’UN ROMAN « PROLÉTARIEN »
        • Un polygraphe autodidacte
        • Les termes de la controverse sur « l’art prolétarien »
        • Les positions communistes : orthodoxes, surréalistes et barbussiens
        • La position « populiste »
        • La position du groupe Poulaille
        • Poulaille et la tradition littéraire
        • Partis pris esthétiques
        • Un enjeu d’époque
        • L’authenticité comme poétique et drame personnel : Poulaille, Gachon
        • Portrait de Poulaille en zélateur de Ramuz
        • Nouvel âge littéraire et la langue du roman
      • FACE AUX TEXTES : LE PAIN QUOTIDIEN (1931)
        • Poulaille en précurseur de Céline ?
        • Histoire éditoriale du roman
        • Réception du Pain quotidien
        • « Ce parler peuple a un indiscutable charme »
        • Paroles de femmes
        • Les répliques narratives
        • Ambiguïtés et incohérences du narrateur en « ouvrier »
        • Le principe de commérage : triple enchâssement du récit
        • La contamination énonciative
        • Un exercice de style ?
        • Persistance des formes soutenues
        • Paradoxes de l’autodidacte
      • CHAPITRE II QUAND LES OUVRIERS SE FONT LES « MAÎTRES DE FRANÇAIS » DE LOUIS ARAGON
        • Réinventer le « réalisme »
        • Le parler peuple comme bien national : « Discours » de juillet 1937
        • Les Beaux Quartiers : faire entendre la voix du peuple ?
      • CHAPITRE III DU « SOUFFLE » AU RÉCIT DE LA PAROLE TRIVIALE : BLAISE CENDRARS
        • « On se trouve être natif d’un pays d’une linguistique contraire »
        • Cendrars dans le champ littéraire des années 1920
        • Henry Poulaille, fédérateur de questions
        • Un promoteur et un lecteur orienté
        • Cendrars et la vive voix
        • Parlers de rue
        • La passion du « souffle »
        • Le primat de la parole
        • Le recours aux linguistes
        • « La science linguistique moderne »
        • Le roman fasciné par la voix
      • FACE AUX TEXTES : LES CONFESSIONS DE DAN YACK (1929)
        • Le dispositif vocal
        • Le dialogue inégalitaire : un recours « populiste » ?
        • L’argot de légionnaire
        • Le récit-conversation
      • CHAPITRE IV JEAN GIONO : « MES PAYSANS PARLENT COMME CEUX DE REGAIN, EXACTEMENT. »
        • Une autobiographie sur mesure
        • Une trajectoire typée
        • Giono et Ramuz
        • Contacts et convergences avec le discours prolétarien
        • Une poétique aux sources de la langue parlée
        • La préface comme précaution
        • Une réception discutée
      • FACE AUX TEXTES : UN DE BAUMUGNES (1929)
        • Un roman de gare ?
        • Une parole en situation
        • Amédée en conteur
        • Thématisations de la parole
        • Albin : parler / saigner
        • Paroles et musique : agir sur l’autre
        • « Devenir musique »
        • Amédée narrateur, Amédée personnage
        • Qu’est-ce que c’est que « ça » ?
        • Cette voix « semblait faite exprès pour l’histoire »
      • CHAPITRE V UN « STYLE FRANC GROSSIER » : PAROLE ET POSTURE CHEZ LOUIS-FERDINAND CÉLINE
        • La « déviation » comme fait littéraire
        • Céline « prolétarien » ou « populiste » ?
        • Enjeux critiques : style et idéologie
        • Céline lecteur de C.F. Ramuz ?
        • La « posture » de Céline et sa figuration romanesque
        • Aristocrate ou homme du peuple ?
        • Nom et pseudonyme
        • Eléments de trajectoire
        • Fiction des origines populaires
        • Un modèle de posture : pour Dabit, contre Duhamel
        • Versions et diversions
        • Un topos d’époque : la fiction des ancêtres
      • FACE AUX TEXTES : MORT A CRÉDIT (1936)
        • L’« effet de voix-peuple » et son impact idéologique
        • Le récit, une arme contre les versions officielles
        • La (re) présentation de soi
        • Le vêtement comme représentation et comme langage
        • Rupture
        • Bagatelles pour un massacre (1937) : une poétique raciste
        • L’ambiguité générique
        • Le pamphlet le débat des esthétiques démocratiques
        • Jugement littéraire, jugement politique
        • Le « raffinement » comme principe de structuration du champ
        • Le « français finement français »
        • Contre l’école : l’autodidacte et les intellectuels
        • La déprise culturelle : les « bonnes manières » de l’écrivain
        • Conclusions
      • CHAPITRE VI RAYMOND QUENEAU LE DÉSENCHANTEUR : EXERCICES D’IRONIE SUR CÉLINE ET LES IDÉAUX PROLÉTARIENS
        • « Ma mère était mercière et mon père mercier »
        • Le vécu
        • Le lu
        • Le su : la compagnie des linguistes
        • Poétique de l’oral : de la linguistique à l’effet littéraire
        • Le « français vulgaire » : enjeux scientifiques, enjeux politiques ?
      • FACE AUX TEXTES : LE CHIENDENT (1933)
        • Incipit
        • Faits de style
        • Contrastes, un : les « termes vulgaires »
        • Contrastes, deux : la contamination
        • Contrastes, trois : le récit oralisé comme signal burlesque
        • Portrait de l’écrivain en concierge
        • Humour et norme : la faute de français
        • Réception française du Chiendent : un exemple
        • Un dialogisme généralisé
        • L’ère du soupçon
        • La condamnation au langage
      • FINALE
        • De la solitude des documents à une lecture relationnelle
        • Portée du roman parlant
        • Limites d’une oralité mythique
        • Grand angle : la langue littéraire saisie parmi les discours concurrents
        • Angle restreint : la singularité des expérimentations stylistiques
        • La question de l’« authenticité »
        • Une démocratisation des postures
        • Une communauté de vues ?
    • BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE
      • SOCIOLOGIE
      • LINGUISTIQUE ET STYLISTIQUE
      • HISTOIRE LITTÉRAIRE ET DOCUMENTS
      • CRITIQUE ET POÉTIQUE
      • BIBLIOGRAPHIE PAR AUTEURS TRAITÉS
      • LES LINGUISTES : BALLY ET FREI
      • LA POSITION PURISTE : ANDRÉ THÉRIVE
      • LE CHAMP PÉDAGOGIQUE : CÉLESTIN FREINET
      • HENRY POULAILLE
      • BLAISE CENDRARS
      • JEAN GIONO
      • L.-F. CÉLINE
      • RAYMOND QUENEAU
    • INDEX
    • TABLE DES MATIÈRES
    • HISTOIRE DES IDÉES ET CRITIQUE LITTÉRAIRE
L'Age du roman parlant, 1919-1939 : écri…
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Pour citer ce chapitre :

Meizoz, Jérôme.
Chap. « Page de titre () » in L'Age du roman parlant, 1919-1939 : écrivains, critiques, linguistes et pédagogues en débat / Préface de Pierre Bourdieu.
Ed. Pierre Bourdieu.
Genève: Librairie Droz, 2001
9782600004978

Pour citer un extrait :

Les numéros de pages de la version papier ont été insérés en petits caratères gris au fil du texte et les numéros de notes conservés à l'identique.

Ce contenu numérique peut donc être cité de la même manière que sa version papier.

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Histoire des idées et critique littéraire
392
Jérôme Meizoz

L’AGE DU ROMAN PARLANT (1919-1939)
Ecrivains, critiques, linguistes et pédagogues en débat
Préface de Pierre Bourdieu
LIBRAIRIE DROZ S.A.
11, rue Massot
GENÈVE
2001

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