• Mentions légales
    • Introduction
      • Les embarras du colonel Foch
      • Les surprises du corpus
      • Analyse structurale et histoire littéraire
      • Détermination et limitation de notre projet : la primauté des textes
    • CHAPITRE PREMIER Prolégomènes : l’héritage du théâtre médiéval
      • I. QU’EST-CE QU’UNE FARCE ?
        • Le débat engagé autour de la farce médiévale
        • La réouverture du débat autour de Molière : Lanson contre Lancaster
      • II. LA FARCE ET LA TRADITION CRITIQUE DU XVIIe SIÈCLE À NOS JOURS
        • Farce et bouffonnerie : l’origine d’un contresens
        • Boileau, miroir de la critique du temps
        • Les attaques contre Molière
        • Molière « farceur »
        • La « révision » lansonienne
      • III. LA SITUATION DE LA FARCE EN FRANCE AVANT MOLIÈRE
        • La farce en tant que telle : une tromperie en acte
        • L’apogée de la farce en France
        • L’apport des Italiens
        • Le patrimoine français
        • La tradition du Pont-Neuf
        • Molière et le réveil du genre
      • IV. LA MACHINERIE FARCESQUE
        • Principes fondamentaux
        • Le schéma de base et les éléments fonctionnels
        • L’agencement des sections : séquence et section
        • La détermination du héros : farce active et farce passive
        • Sujet-objet-agent : notion de pôles
        • L’organisation des séquences
      • V. MOLIÈRE ET LA FARCE
        • De « l’école des farceurs » à la sublimation du genre
        • Farce et comédie
    • CHAPITRE II L’école des farceurs
      • I. LES ANNÉES OBSCURES
      • II. LA JALOUSIE DU BARBOUILLÉ
        • Le premier témoin
        • La source narrative
        • Technique narrative, technique dramatique
        • Une composition « élémentaire »
      • III. LE MÉDECIN VOLANT
        • Les sources italiennes
        • L’héritage français et les données italiennes
        • Structure et composition
        • Les premiers essais de la « machine »
      • IV. LA PREMIÈRE GRANDE RÉUSSITE : L’ÉTOURDI
        • L’héritage de Barbieri
        • Caractéristiques de la « commedia sostenuta » de Barbieri
        • Un héritage prétendument gâché
        • L’originalité de Molière
        • La fourberie comme matrice
        • La fourberie comme ressort essentiel de l’action
      • V. STRUCTURE ET COMPOSITION DE LA PIÈCE
        • Principe fondamental
        • L’acte I
        • L’acte II
        • L’acte III
        • L’acte IV
        • L’acte V
        • Une machinerie exemplaire
        • Un exercice de style
      • VI. UNE VÉRITABLE « MACHINERIE »
        • Place et fonction de Lélie dans les divers jeux de la ruse
        • Le fonctionnement de la machinerie farcesque
        • En sortant de l’Ecole
    • CHAPITRE III Le perfectionnement du genre
      • Cohabitation à l’italienne
      • I. LES PRÉCIEUSES RIDICULES
        • « Le premier farceur de France »
        • Bouffonnerie et farserie
        • Le scénario
        • Les « masques »
        • La comédie des comédiens
        • Une composition « schématique »
        • Une farce tragique
        • « Sens » des Précieuses
      • II. LE COCU IMAGINAIRE
        • Le malentendu
        • Le Cocu devant la critique
        • L’utilisation des données traditionnelles
        • Un système d’horlogerie
        • Une composition « implacable »
        • La machine en folie
        • Le dernier des jongleurs
    • CHAPITRE IV Farce et comédie : de L’Ecole des maris à L’Ecole des femmes
      • I. D’UNE « ÉCOLE » À L’AUTRE
        • Le temps des « bourrasques » : la crise de L’Ecole des femmes
        • Tempêtes conjugales
        • Les mirages de l’analogie I : le titre des œuvres
        • Les mirages de l’analogie II : les thèmes et les types
        • Les mirages de l’analogie III : la facture dramatique
        • Les différences structurelles
      • II. L’ÉCOLE DES MARIS
        • Une farce « classique »
        • « Un chef-d’œuvre de construction dramatique »
        • L’acte II
        • Fonction de la croyance
        • L’acte III
      • III. L’ÉCOLE DES FEMMES
        • Où l’on voit à nouveau se poser la question du remake
        • « Le sujet le plus mal conduit qui fut jamais »
        • L’Ecoles des femmes : la structure de base
        • L’acte I
        • L’acte II
        • L’acte III
        • L’acte IV
        • L’acte V
        • Composition générale
        • D’une « Ecole » à l’autre
      • IV. LA FIGURE DU DESTIN DANS LA FARCE
        • Fonction du récit dans l’émergence de la comédie
        • Le récit, « ressort » secret de la comédie
        • Une contradiction apparente
        • Le lutin de l’intérieur
        • Une fatalité « logique »
        • Le point « hors savoir » du personnage de comédie
      • V. ARNOLPHE
        • Arnolphe, premier personnage de comédie
        • L’obsession d’Arnolphe
        • Arnolphe « personnage de papier »
        • Le projet éducatif d’Arnolphe
        • Le morceau de cire
        • La volonté « d’abêtissement »
        • Arnolphe ou la fatalité de l’échec
      • VI. CONCLUSION
        • Une farce peut cacher une comédie et une comédie une farce
        • Une synthèse « impossible »
    • CHAPITRE V Les métamorphoses du genre
      • I. LE MARIAGE FORCÉ
        • Les contraintes du bon plaisir
        • Le « tournant » de 1664
        • Les métamorphoses de Sganarelle
        • Une comédie-ballet
        • Un succès paradoxal
        • Du « Barbouillé » au « Mariage »
        • Structure et composition
        • « Un charivari grotesque »
      • II. L’AMOUR MÉDECIN
        • « Un simple crayon »
        • Un ensemble hétéroclite
        • La Farce du sourd et La Farce de la feinte morte
        • La Farce des médecins
        • La Farce de L’amour médecin
      • III. LE MÉDECIN MALGRÉ LUI
        • Situation du Médecin dans l’œuvre de Molière
        • Le Médecin malgré lui et la tradition théâtrale
        • La résistible ascension d’un « faiseur de fagots »
        • Structure et composition
        • Une mutation décisive
    • CHAPITRE VI Les leurres du semblant
      • I. LE SICILIEN
        • La farce travestie
        • Structure et composition
        • L’illusion comique
        • Les jeux de l’amour et du miroir
      • II. AMPHITRYON
        • La duplicité essentielle de l’homme
        • Situation de l’œuvre
        • La farce travestie à l’antique
      • III. STRUCTURE DE L’ŒUVRE
        • Les deux premières séquences (actes I et II)
        • L’acte ΙII : le destin du maître
        • L’acte ΙII : l’infortune du valet
      • IV. UNE MUTATION DRAMATIQUE
        • Où l’on voit que la machine à rire dissimulait un malin génie
        • Une nouvelle subversion du genre
      • V. LE PERSONNAGE DE SOSIE
        • La démultiplication des Moi
        • Les trois Sosie
        • L’aliénation par le double
        • Le dépouillement narcissique
        • La perte du nom
        • Un double ne redouble pas toujours un autre double
      • VI. LE PERSONNAGE D’AMPHITRYON
        • La tromperie inhérente à l’amour
        • Le dieu jaloux
        • La fatale infidélité de la pins fidèle des épouses
        • De la difficulté d’être aimé pour soi-même
        • Le père n’est jamais sûr
        • Hercule à la croisée de la paternité
        • Vers le dernier détour
    • CHAPITRE VII La farce tragique : George Dandin
      • I. HISTORIQUE
        • Le Grand Divertissement royal de Versailles
        • « Une farce hâtive »
        • Les sources italiennes et françaises
        • De L’Ecole des femmes au Mari confondu
      • II. STRUCTURE ET COMPOSITION
        • L’acte I
        • L’acte II
        • L’acte III
        • Une composition tout à fait originale
      • III. L’HÉRITAGE DE LA TRADITION
        • Le Mari confondu : la tradition médiévale
        • George Dandin : les surprises de l’onomastique
        • Le dernier avatar du Vilain escouillé
      • IV. FARCE TRAGIQUE OU DRAME SOCIAL ?
        • George juge de Dandin
        • George Dandin : « lutte des classes » ou conflit intérieur ?
        • Dandin et Arnolphe
      • V. LE NAUFRAGE
        • La triple négation de George Dandin
        • La faute originelle de George Dandin
        • La parole pervertie
        • Huis-clos : le naufrage dans la folie
        • Quelques ombres dans la nuit
        • Une farce tragique
    • CHAPITRE VIII La farce charivarique : Monsieur de Pourceaugnac
      • I. LES MATÉRIAUX
        • Le Divertissement de Chambord
        • La double tradition
        • Les matériaux mis en œuvre : les « sources » italiennes
        • Les matériaux mis en œuvre : les « sources » françaises
      • II. LE CHARIVARI
        • Le ressort secret de la « machine »
        • Qu’est-ce qu’un charivari ?
        • La chasse au cochon sauvage
        • La « bête » qui emportait les femmes
        • Défense du mariage et sauvegarde de l’enfant
        • Monsieur de Pourceaugnac, farce charivarique
      • III. FOLKLORE ET THÉÂTRE
        • Le charivari : du rituel à la scène
        • Les deux « gibiers » de la chasse farcesque
        • Les acteurs de bonne foi
      • III. STRUCTURE ET COMPOSITION
        • L’acte I
        • L’acte II
        • L’acte III
      • IV. LA SUBVERSION DU RITE
        • Comment la farce en vient à subvertir le sens du rituel charivarique
        • La mise en cause de la Loi
        • La fête carnavalesque
      • V. LA LEÇON DE MOLIERE
        • Un monde sans foi ni loi
        • Le père humilié
        • Du père au pire
        • Le pire n’est pas toujours sûr
    • CHAPITRE IX La sublimation du genre : Les Fourberies de Scapin
      • I. HISTORIQUE
        • La création : de Psyché aux Fourberies
        • « Dans ce sac ridicule… »
        • La résurrection du passé : Le Pont-Neuf et la vieille farce française
      • II. LE PROJET DRAMATIQUE
        • Le passé recomposé
        • Le temps retrouvé
        • L’exploit physique et le défi aux Italiens
        • La farce prise au miroir
      • III. STRUCTURE ET COMPOSITION
        • Prolégomènes à la composition de la farce
        • La structure élémentaire de la « farserie »
        • Une farce « composite » : la critique de Schlegel
        • Le feu d’artifice final
        • « Théâtre en liberté »
        • La composition de la farce
      • IV. LE PUR THÉÂTRE
        • Le jeu pour lui-même
        • « L’échappée belle »
        • « L’expression du pur théâtre »
      • V. TOUTE LA LYRE
        • Quand la farce devient musique
        • « Reprendre à la musique son bien » : l’exemple des « variations »
        • Molière dans le jardin de Lulli : « la galère » et « le sac »
        • Une composition d’ensemble « rapsodique »
        • L’apothéose de Scapin
    • CONCLUSION Farce et comédie
      • Les paradoxes de la farce de Molière
      • Les principes de la tragédie et de la comédie
      • La fatalité logique de la comédie
      • Farce et comédie chez Molière : la levée d’une contradiction
      • Molière et la subversion du genre
    • Bibliographie
    • Index des noms
    • Index des œuvres
    • Table des matières
Molière et la Farce
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Pour citer ce chapitre :

Rey-Flaud, Bernadette.
Chap. « Page de titre () » in Molière et la Farce.
Genève: Librairie Droz, 2017
9782600014649

Pour citer un extrait :

Les numéros de pages de la version papier ont été insérés en petits caratères gris au fil du texte et les numéros de notes conservés à l'identique.

Ce contenu numérique peut donc être cité de la même manière que sa version papier.

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Histoire des idées et critique littéraire
348
Bernadette Rey-Flaud

MOLIÈRE ET LA FARCE
LIBRAIRIE DROZ S.A.
11, rue Massot
GENÈVE
1996

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